Le temps est à la cuisse légère et à la peau respirante. Et, avec la douceur revenue, la tentation est grande de laisser ses extrémités s’ébattre librement. Le cycliste n’échappe pas à cette soudaine pulsion, trop longtemps engoncé dans sa tenue hivernale. Ses mains fébriles toilées de mitaines Veeka, il fait répondre sa bicyclette au doigt et...