Augustus Farmer est à la croisée des passions. Celle de la photo, de l’écriture et du cyclisme. Une richesse d’inspirations qui lui permet de livrer un travail polymorphe. Une œuvre qui privilégie l’instant, la minute suspendue parmi le tumulte. Dans la veine d’un Staffan Jofjell, il s’immisce dans les travées du vélodrome et capte le cycle tournoyant. Dans
Spoxe est une marque jeune, australienne de naissance, qui agite désormais le monde cycliste depuis sa base anglaise de Manchester. Dans la veine créative de ses confrères des antipodes, la petite enseigne interpelle immédiatement par l’originalité de son offre textile. Sa première collection maille littéralement et graphiquement le corps. Le motif choisi pour cette gamme inaugurale quadrille bras,
1969 restera dans les annales comme l’une des saisons les plus abouties de la carrière d’Eddy Merckx. Pour conter le récit de cette année sportive d’exception du « cannibale », et célébrer éditorialement ses 69 ans, l’écrivain Jan Maes et le photographe Tonny Strouken ont rassemblé leurs souvenirs dans un ouvrage titré Merckx 69 proposé par les éditions Cannibale. Au gré de ces 180 pages, les
L’école a cessé d’être buissonnière depuis que les écrans ont installé les cancres au premier rang de la classe. L’enseignement par voie digitale recentre aujourd’hui l’attention des plus dissipés. Des sites tels que l’anglais madegood.org mobilisent ainsi l’assiduité des cyclistes internautes. Ce contenu en ligne brille par sa diversité et sa pertinence. Il traite l’information à la manière d’un magazine d’investigation,
Mack a fait ses premières armes dans la fabrication artisanale de moyeux. Depuis 2013, la marque polonaise affiche ses couleurs plus largement en proposant des déclinaisons textiles. Le modèle Azure rhombus s’engage graphiquement, tout en quadrillage, tandis que les triangles s’associent pour créer l’impact visuel, tant sur la poitrine qu’au bout des pieds. Le Dots, au-delà des points
Malgré le retrait de l’équipe Euskaltel, l’Euskadi reste dans l’actualité cycliste. Le magazine Pedalier, édité à San Sebastián, présente le monde sous un jour nouveau. Au gré de quelque 140 pages, le texte s’étire et laisse les photos s’exprimer pleinement. Depuis quelques numéros, le support basque espagnol a fait peau neuve, optant pour un format inédit et une
Lino Cycles perpétue le mythe. À travers des illustrations sobres et monochromes, le créateur met la gloire cycliste en scène. Le coureur d’époque se débat courageusement sur son cycle d’acier et l’effort, couché sur papier, prend toute sa mesure. Ces œuvres se déclinent en noir et blanc et se teintent de sépia quand le passé surgit, en tête du peloton,
La France se tisse d’un réseau d’insistance. Une volonté forte de remettre le vélo en tête des préoccupations urbaines. Aux côtés des penseurs et des institutionnels qui travaillent à sa prolifération partout dans le monde, des lieux se mobilisent pour inciter le citadin à lâcher le volant et s’emparer du guidon. Le discours militant et la
Kåre Dehlie Thorstad applique the pain principle. Au-delà du portrait cycliste, comme Emily Maye peut le pratiquer avec talent, ce photographe capte les instants d’intensité, les flots de douleur. Car le cyclisme, faut-il le rappeler, réclame son lot d’efforts et de sacrifices. Il marque les visages et éprouve les corps. La photographie dévoile ici l’intimité et révèle le drame. La
C’est à l’ingénieux Louis Auguste Désiré Rustin que nous devons de ne plus rester en carafe au bord de la route. Depuis 1922, la « rustine » fait partie du nécessaire du cycliste qui se lance à l’aventure au coin de la rue ou au sommet d’un col, et se retrouve en manque d’air et de vulcanisation.
Le nouveau continent n’est décidément pas à cours de ressources cyclistes. Tandis que certains s’attachent à valoriser les vertus techniques et novatrices du cycle, d’autres le mettent en scène photographiquement dans son quotidien. C’est le cas de VSCO, une société spécialisée dans le développement de solutions photo et vidéo basée à Oakland, qui s’est associée à la marque
Mattia Paganotti est le jeune artisan qui préside aux destinées de Legor Cicli. Formé pendant deux ans auprès de Tiziano Zullo, la référence italienne, il développe désormais une gamme complète de vélos prêts à affronter tous les terrains, qu’ils rutilent de bitume, de bois ou de boue. La dernière création réalisée dans son atelier de Brescia est une merveille de
