La marque Campagnolo est née en 1933. Basant son principe initial sur l’éradication des tendeurs de chaîne et des poulies, le fabricant italien a tout misé sur le dérailleur à baguette, apportant aux cyclistes la fiabilité et la précision qui manquaient cruellement aux bicyclettes de l’époque. Immédiatement adoptée par le peloton, cette solution technique innovante
Carrera est une marque qui s’est intéressée très tôt au sport de compétition, tirant son nom de la fameuse course automobile Carrera Panamericana. Depuis 1956, l’enseigne créée par Wilhem Anger se préoccupe tout d’abord de nos yeux, proposant des lunettes de soleil et de sport arborées par les plus grands champions et les personnalités qui comptent. Au
Les petits et grands départs à vélo se révèlent compliqués sans une bagagerie parfaitement adaptée. L’atelier Sacacycle dirigée par Irène Brunet, passionnée de couture et de cycle, vous propose une ligne de bagages qui viendront couvrir votre monture d’une superbe parure naturelle. L’atelier propose ainsi un choix de sacoches qui privilégient les matières nobles comme
Panda Cycles est un collectif installé à Berlin qui, à l’instar de Gravillon, est une vitrine de la « vélosophie ». Ce site expose le travail photographique de ses initiateurs, présentant des portraits de cyclistes et professionnels singuliers, et des reportages sur l’univers du vélo. Dans ce recueil iconographique, la bicyclette contemporaine se dévoile au détour des
Bobbin Bicycles est une marque qui sait s’entourer. Pour promouvoir en images la partie de son catalogue destinée aux femmes, l’enseigne anglaise s’est adjointe les services de l’artiste Tabitha Denholm, agitatrice notoire des soirées londoniennes. Dans ce clip aux tonalités rock, bicyclettes et mannequins rivalisent de fraîcheur dans une ambiance des plus british, toute en chatoyance et vintage. God
Le parcours du Tour de France 2013, édition du centenaire, restera dans les mémoires, les étapes du Ventoux et de l’Alpe d’Huez entrant définitivement dans la légende. Pour permettre de revivre ces ascensions dans la peau (et sur le vélo) d’un forçat de la route, Google offre sur internet une représentation géolocalisée de la Grande Boucle.
« Le vélo de papi fait de la résistance » est une incursion documentaire dans le monde parisien du pignon fixe, qu’il soit pratiqué dans la rue, au contact d’obstacles ou sur la piste. Phénomène initialement prisé outre-Atlantique, le fixie fait l’objet depuis plusieurs années de tous les intérêts. Dans la fiction ou la réalité. Initié par
Ugo Gattoni, jeune artiste français, a créé une œuvre magistrale consacrée au cycle à l’occasion des Jeux Olympiques de Londres 2012. Cette fresque mettant en scène une course frénétique à travers la capitale anglaise a été accrochée au mur de la prestigieuse Hayward Gallery et fait l’objet d’une superbe déclinaison imprimée éditée par Nobrow. Du talent et
Le vélo s’expose désormais sur papier glacé. Le vélodrome, temple de la vitesse cycliste, ne pouvait donc pas échapper à cette mode créative. Les modèles, jeunes filles et vieux briscard en jerseys, posent sur la piste dans leurs styles respectifs. Langoureuses et à pied pour les premières. Assagi et en selle pour le second. Sous l’objectif
Le Tour mérite que l’on s’attarde sur son histoire et ses arcanes. En 10 minutes, cette infographie animée, proposée par Infobytes TV, explique les fondamentaux d’un sport aux facettes tantôt polies, tantôt entachées. L’épreuve prend ses grands airs de légende au fil du propos d’un narrateur dont l’accent apporte une touche cocadière indispensable. Aux cycles citoyens
La bicyclette cadre bien avec Berlin. Le peuple s’est soulevé de part et d’autre de la cité pour abattre le mur et pouvoir circuler librement en vélo. Les marques locales n’ont pas tardé à se développer et certaines présentent aujourd’hui une production des plus abouties. Højmark Cycles a travaillé son concept avec soin et distille
Le troisième numéro de Pédale!, hors-série du magazine So Foot, est en kiosque. Ce numéro 3 propose une nouvelle fois un regard décalé sur le Tour de France révélant un Alberto Contador instinctif et naturel, un Claudio Chiappucci, retraité mais flamboyant comme jamais, et mettant à l’honneur Bradley Wiggins, l’impérial et olympique vainqueur de la Grande Boucle