La France se tisse d’un réseau d’insistance. Une volonté forte de remettre le vélo en tête des préoccupations urbaines. Aux côtés des penseurs et des institutionnels qui travaillent à sa prolifération partout dans le monde, des lieux se mobilisent pour inciter le citadin à lâcher le volant et s’emparer du guidon. Le discours militant et la
Trackside ‘85 nous ramène en piste, durant les Six jours organisés à Berlin en 1985. À l’instar d’un Cartier-Bresson laissant traîner son objectif dans les contre-allées du Vél’ d’Hiv’ des années 50, Staffan Jofjell dévoile les dessous du vélodrome allemand. Tandis que le mollet luit sous les mains du masseur et les tenues des groupies flamboient sous les projecteurs, les yeux du public brillent
Il y a dix ans, jour pour jour, naissait Rapha, une exposition de photographies organisée à Londres marquant la création de la marque. L’événement avait choisi de célébrer six gloires du cyclisme – Eddy Merckx, Jacques Anquetil, Tom Simpson, Fausto Coppi, Raymond Poulidor et Bernard Hinault – qui incarnaient l’exploit et la douleur, les émotions qui hantent le peloton dans toutes ses
Site internet d’excellente facture, Cyclr lance aujourd’hui un magazine digital qui prolonge son propos pertinent à travers plus de 100 pages dédiées au vélo. Dans la veine de Steel, le support français fidèle au papier, cette édition aussi anglaise que dématérialisée consacre une large place aux vélos urbains et aux personnes qui les animent. Gerry Newton,
Le piéton s’émerveille fréquemment devant la finesse et l’élégance des créations de la marque japonaise Muji. Le cycliste, quant à lui, préfère louer l’originalité et la sobriété qui président à la conception des produits Kinoko. Cette enseigne nippone, qui s’est initialement faite connaître sur le web sous le nom de Tokyo Fixed, a désormais pignon sur
Une tendance se dessine chaque jour un peu plus dans le paysage média s’intéressant à la bicyclette. Que cette presse dédiée s’exprime sur le papier ou en digital. À l’instar du magazine Soigneur ou du site Sûrement, l’anglophone CycleLove consacre le vélo dans sa dimension humaine et culturelle, abandonnant le discours technique à une presse de spécialistes.