À l’instar du partenariat mené avec The Spoken depuis de nombreuses années, The Radavist aura désormais droit de cité sur Gravillon, nous ouvrant chaque mois de nouveaux horizons cyclistes à travers le monde, sur des terrains inédits, aux commandes de machines aux guidons droits ou cintrés, sur le bitume parfois et le gravier souvent.

Les récits de The Radavist #23 : À la découverte de la capitale de la Scandinavie en gravel
[Par Conor Courtney]
Avec plus de 400 kilomètres de sentiers à une heure de route du centre-ville, Oslo s’est imposée comme une destination d’aventure. Conor Courtney a passé un long week-end à rouler en Fara Cycling, une marque de vélo locale parfaitement adaptée à la géographie norvégienne et à la pratique du gravel.

Les récits de The Radavist

« Êtes-vous prêts à découvrir le paradis ? », demande Jørgen Helland.

La chaleur du soleil du début de l’automne accompagne les cyclistes et les randonneurs qui grignotent des gaufres chaudes et boivent des bières fraîches chez Kikutstua, un lodge situé dans la forêt de Nordmarka à environ 18 kilomètres du centre-ville d’Oslo.

Les autoroutes appelées « ring one » et « ring two » entourent Oslo. Et dans la Nordmarka, les cyclistes ont surnommé trois routes gravel concentriques les « ring roads », des traces qui permettent de découvrir de superbes parcours dans la forêt.

Jørgen, directeur marketing chez Fara Cycling, nous a guidés de nuit jusque chez Kikutstua à travers la forêt. À seulement une heure de route d’Oslo, notre itinéraire sinueux nous a fait rouler sur une superbe chaussée avant d’entamer un chemin gravel traversant la forêt et longeant les rives d’innombrables lacs.

Les récits de The Radavist

« Si Oslo est la capitale du gravel en Scandinavie, c’est ici qu’on trouve l’épicentre », plaisante Jørgen tandis que nous profitons du soleil sur les marches du lodge. L’odeur des gaufres accompagnées de tranches de fromage et de confiture flotte dans l’air, donnant de l’énergie pour nos longues journées dans la nature.

Les récits de The Radavist

La suite du récit en anglais :