
LES RÉCITS DE THE RADAVIST #31 : SUR L’ÉDITION 2025 DU NORTH LONDON DIRT
Pierre Labardant 29 août 2025À l’instar du partenariat mené avec The Spoken depuis de nombreuses années, The Radavist aura désormais droit de cité sur Gravillon, nous ouvrant chaque mois de nouveaux horizons cyclistes à travers le monde, sur des terrains inédits, aux commandes de machines aux guidons droits ou cintrés, sur le bitume parfois et le gravier souvent.
Les récits de The Radavist #31 : Sur l’édition 2025 duNorth London Dirt
[Par Petor Georgallou]
Il y a quelques semaines, notre correspondant européen s’est rendu à Londres pour participer à la 8e édition de l’événement caritatif annuel North London Dirt. Il s’est retrouvé à faire du tout-terrain sous la pluie au milieu d’un peloton roulant à la cool , explorant des raccourcis et coins cachés de Londres.
Une invitation du Dirt Man
« Une question : connaissez-vous le North London Dirt ? L’avez-vous déjà fait ? En fait, ça fait deux questions.»
Je connais. Je ne l’ai jamais fait. Réponse bonus : j’en ai toujours rêvé.
« J’ai parlé à ton pote John Prolly et il m’a dit que ce serait un bon événement à couvrir pour The Radavist. Il me faut juste un photographe et un rédacteur… et bien sûr, j’ai pensé à toi !»
Mike Rose est enregistré dans mon téléphone sous le nom de Mike Rose Dirt car il a travaillé pendant des années comme photographe, puis rédacteur, pour le légendaire magazine VTT Dirt de la grand époque.
Quand j’étais adolescent, je n’achetais jamais Dirt, ce qui me semblait étrange à l’époque. On lisait encore des magazines à l’époque – de vrais magazines – et je préférais Frieze et à Dazed & Confused, et de temps en temps un fanzine d’art étrange comme Permanent Food ou Turps Banana. Je faisais du vélo – beaucoup – mais je ne lisais Dirt, MBUK et Thrasher! que chez des amis. Déjà à l’époque, je saluais leur qualité comparable à celle des magazines d’art et de mode qui coûtaient deux fois plus cher.
Ces magazines de vélo semblaient s’adresser aux vrais cyclistes, à ceux qui adoraient le vélo en général, rouler et plus encore. Je ne me sentais pas à la hauteur. Ce n’est que récemment que j’ai appris que le magazine anglais Dirt n’avait aucun lien avec le magazine américain Dirt fondé par Spike Jonze – même si la version britannique a effrontément emprunté le nom après la fermeture de la version américaine.
La suite du récit en anglais :
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