Tandis que le séant trouve à s’asseoir, les gambettes se découvrent sur un petit air de Poupoupïdou (hou !). Fuselées, boudinées, musclées… elles jouent les danseuses et révèlent enfin la féminité des pédaleuses timides qui hésitent encore à mouliner. Volants, froufrous et autres plissés exhibent désormais mollets et genoux, sans dévoiler l’antre sacrée de toutes ces échevelées. Les filles en pincent déjà et réclament un peu de Kisskissbankbank et beaucoup de Poupoupïdou !