Affublé du brassard n°61, mon co-équipier brille dès l’aube d’une énergie qui fait envie et je jalouse la fraîcheur avec laquelle il ne cède aucun relais. Comme un lanceur alerte, au milieu de la baie du Pouliguen endormie, il marque un rythme enjoué, les manivelles tournent vite, les jambes légères.  Nous laissons un peloton imaginaire...